L'empreinte de l'invisible, de Carlos Vaquera, par Thierry-Marie Delaunois
Commentaires
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Je découvre à l'instant votre chronique. Un auteur qui écrit sur un autre auteur est toujours un exercice de style difficile car l'oeil du professionnel se cache derrière celui du lecteur. C'est à cet instant précis que je me demande si je suis alors à la hauteur? (la langue française n'est-elle pas surprenante?) Et me voici à vous lire et à découvrir votre ressenti. Mon coeur a battu plus fort! Il a rejoint la partie la plus sensible de mon être: mon ego. Aïe, que je ne l'aime pas celle-là! Elle me rend parfois susceptible alors que tout ce que je voudrais être, c'est sensible! J'ai donc retenu mon souffle et...j'ai apprécié votre appréciation. Ouf, je peux à nouveau respirer! Merci pour vos mots qui ont atteint ma cible émouvante. Nous connaissons tous les deux la différence entre l'auteur et l'écrivain. Le premier a un autre métier (pour ma part j'ai d'autres passions qui me font vivre), tandis que le second gagne sa vie exclusivement en additionnant les mots pour en faire des phrases qui en finalité des livres. C'est tout le mal que je nous souhaite. Merci pour votre temps et puisque le bonheur existe, tâchons de l'apprivoiser. C.V.
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